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Les perroquets:

Il y a plus de 330 variétés de perroquets qu'on divise en trois groupes:

- Les Loris qui se nourrissent surtout du pollen des fleurs et du nectar des fruits grâce à sa langue couverte de papilles;

- Les Cacatoès caractérisés par leur huppe composée de longues plumes qu’ils déploient et referment selon leur humeur;

- Les Pisittacins différents des deux premières familles. On y retrouve entre autres les Aras, les Amazones, les Gris d’Afrique, les Inséparables et les Conures.

On les trouve à l'état sauvage, en Australie, en Amérique centrale, en Amérique du Sud, en Afrique, dans les Îles du Pacifique et en Inde.
Mais les connaisseurs préfèreront un perroquet EAM ( élevé à la main).

le principe EAM:

Après un nombre moyen d’œufs pondus par nichée, 1 à 4 sur une ou deux nichées par an, le temps d’incubation varie de 26 à 28 jours ( 24-31) suivant les espèces. On peut récupérer les œufs de la première couvée afin de les élever à la main, et ceux de la seconde les laisser aux parents (certains éleveurs préférant des animaux nourris par les parents).

Les œufs peuvent être récupérés à n’importe quel moment de l’incubation parentale, afin d’être mis dans un incubateur artificiel.
Le premier nourrissage commencera 8 heures après l’éclosion et obligatoirement avant le 24éme heure de vie
A partir de la 48éme heure, le poussin peut maintenant quitter l’éclosoir pour aller dans une éleveuse chauffé à 35°
L’oiseau sera bagué entre le 10éme et 15éme jour.. puis il va avoir entre 5 nourrissages par jour en 2 semaines et 3 nourrissage par jour au bout d’un mois.
On commencera à proposer des graines et de l’eau, lorsque le poussin arrivera à se percher. Le sevrage a lieu entre 2mois et demi et 5 mois en fonction des espèces. On reste souvent obligé de gaver une fois le soir pendant assez longtemps.

L’oiseau pourra ensuite aller dans une volière.

P.S: Le nourrissage.. une pâtée confectionnée avec des produits spécifiques pour "bébés" perroquets que l'on met dans une sorte de grosse seringue et dont on "gave" l'oisillon en lui maintenant la tête délicatement.. ( de la même manière que le ferait ses parents..)
( source: Guarouba, élevage à la main)

Ce principe d'élevage à la main rend naturellement l'oiseau beaucoup plus habitué à l'homme et très sociable par la suite.

Le perroquet le plus célèbre fut sans doute: Alex ()qui était un perroquet gris étudié pendant plus de 20 ans par la psychologue animalière Irene Pepperberg. Il disposait d'un vocabulaire d'environ 800 mots et, fait exceptionnel, il semblait comprendre ce qu'il disait. De plus, il avait appris l'alphabet, était capable de compter des objets et de reconnaître 7 couleurs différentes. Il semblait en outre capable de comprendre la notion de zéro.

Le lion blanc est une forme mutante du lion de la sous-espèce Panthera leo krugeri ; il ne s'agit pas d'une sous-espèce séparée. On le croise occasionnellement dans les réserves naturelles d'Afrique du Sud, et il fait l'objet d'élevages sélectifs dans des zoos du monde entier. Selon les croyances africaines, cet animal est divin et croiser sa route porte bonheur. Son existence a été révélée au public dans les années 1970 par Chris McBride dans son livre Les lions blancs de Timbavati (The White Lions of Timbavati).

Le gène responsable de la mutation est récessif, si bien que les lions blancs restent rares dans la nature et seul un couple de lions blancs peut avoir des lionceaux blancs à coup sur ; il arrive que des lionceaux blancs naissent de lions normaux à Timbawati et dans le parc national de Kruger. La plus grande population de lions blancs se trouve dans les zoos, où ils sont élevés dans le but de perpétuer leur couleur, ce qui présente des risques de consanguinité..

Les lions blancs, pour la plupart, ne sont pas atteints d'albinisme. Leur mutation est appelée leucistisme (ou parfois chinchilla), et donne à leur fourrure une couleur qui varie du blond au blanc presque pur. Cette couleur donne aux animaux un désavantage certain dans la nature car elle les rend très visibles aux yeux de leurs proies et en fait une cible facile pour les prédateurs.

Alors tout d'abord sa fiche:

Type: Animaux sauvages
Race: Lémuriens
Classe: mammifère
Ordre: Primates
Famille: Lémuridés
Genre et Espèce: Cheirogaleus trichotis (chirogale à oreilles velues,), C. major (chirogale de Milius), C. médius (chirogale moyen), Phaner furcifer (phaner), Microcebus murinus,(microcèbe murin), Hapalemur griseus (hapalemur gris), H. simus (hapalemur à nez large), Lemur catta (maki catta), L. macaco (maki macaco), L. variegatus (maki vari), Lepilemur mustelinus (lépilémur mustélin) et autre
Régime alimentaire: phytophage. ( qui se nourrit de matières végétales)
Espérance de vie: 12 à 20 ans

Histoire:

Les lémuriens sont des primates apparentés aux singes et leur taille varie de celle d'un petit chien à celle d'une souris.

On ne les rencontre qu'à Madagascar; l'indri, le sifaka, l'aye-aye ( souvenez vous des photos des petits gremlins^^), plus spécialisés, sont traités dans des articles séparés. Les autres appartiennent à une famille unique, celle des lémuridés,
bien que le zoologue français Petter ait fait remarquer qu'il en existe deux groupes très distincts.

Le premier groupe réunit les chirogaléinés: lémuriens nains, ils ne dépassent que rarement 30 cm de longueur; ils ont une longue queue assez touffue, un petit museau pointu; leur robe va du roux au gris, le dessous étant blanc ou jaune. Une espèce, le phaner, présente un motif de raies noires qui unit la raie dorsale aux cernes entourant les yeux.

Le deuxième groupe rassemble les lémurinés, mesurant de 50 cm à 1 m; ils ont une longue queue touffue. Le maki macaco a des oreilles et des joues frangées

Trente-cinq espèces et une cinquantaine de sous-espèces et de variétés de lémuriens sont connues aujourd’hui, mais quand les hommes sont arrivés à Madagascar, il y a plus de 2.000 ans, il y avait certainement plus de 15 espèces et variétés de lémuriens en plus sur l’île. Ces formes actuellement éteintes, et objet de discussions, sont à mettre en relation avec la survie des espèces et les lémuriens actuels pourraient subir un sort semblable si aucun effort majeur sur la conservation n’est pas mis en œuvre.