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 Hors de la ville [RP public]

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MessageSujet: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 3 Mar - 21:13

Rome capitale de Vestalia à une forme ronde et est entourée pour la quasi totalité de muraille assurant ainsi sa protection...mais qu'en est-il de l'extérieur de la cité ?

c'est une étendue de grande colline ou se mélange des prés d'herbes verdoyante et champ de paysans vivant a l'extérieur et assurant les vivres pour au moin une partie de la population...Nous y trouvons également des routes de pavé réputé mondialement car c'est bien connue, tout les chemins mènent à Rome ! Il faut donc des routes de qualité pour accueillir dans notre belle cité des voyageur du monde entier ! Et d'autre chemin plus discret pour les rendonnée pédestre, joie des membres du sénat a la retraite...(ceux qui n'ont pas était assassinés...)



j'irai chercher des photos très bientôt... Hors de la ville [RP public] 803109
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 3 Mar - 21:23

une nuit fraiche, éclairée par un ciel parsemé d'étoiles brillants de milles feu était tombé sur Rome, capitale de vestalia. La ville continuait de vivre mais plus en silence,un jeu de lumière l'éclairant...De dehors vue des immense collines emplie d'herbes vertes et de champ de blé, on distinguait les amas de maisons et les bâtisses immense qui composait la cité, les arènes, les temples, les palais, le sénat...La ville était magnifique, on y devinait la vie qui continuait de s'y activée bien que d'ici il n'y avait que le vent qui aurait put siffler dans des oreilles égarés.Dans ce désert de verdure, il n'y avait nullement de vie pour se rendre compte de la beauté de ce spectacle...

Encore que...

pataclop ! pataclop ! pataclop ! pataclop ! pataclop !

Des bruits de sabots fouettant le sol a une allure démesurée vinrent se mêlée au doux bruissement que provoquait la brise du soir dans les champs. En y faisant gaffe on pouvait a présent distinguer deux ombres, parcourant les collines comme si ils les effleurait a peine, les survolant...Le son était de plus en plus distinct et on pouvais a présent apercevoir deux cavalier...l'un montait un étalon noir et le second une jument d'un blanc nacrée...

-Tu est bien meilleur cavalière que moi je doit l'admettre...on a finalement trouver un terrain ou tu me bat...

la beauté orientale sourit laissant apparaitre une rangé de dent parfaitement blanche et ordonnée, elle avait un beau sourire et dans la pénombre, l'éclat de ses yeux noirs luisait, lui donnant ainsi un air irréel, entre la démence et une beauté surnaturel.

Le guerrier était touché par cette beauté mais pas comme avec les autres femme.Il aimait celle-là comme un grand frère aime sa sœur.Il voulait juste la rendre heureuse et la protéger.

*la beauté a l'état sauvage est la plus belle mais la plus fragile...si elle devient forte,elle perd de sa beauté...Pour que tu soit toujours aussi belle, je te protègerai...tu n'aura plus jamais a te battre ou a souffrir de quoi que ce soit tant que tu sera avec moi...*

-nina...

-hein?

Oliviel ouvrit les yeux en grand, son étonnement pouvait se lire sur son visage...Il ne pensait pas qu'elle parlerait si tôt.

-nina...c'est mon nom.


Elle avait la voix mélodieuse, bien qu'un peu roque, sans doute due a son long silence...Une voix mielleuse et enivrante.Bizarrement elle ne portait aucun accent,laissant deviner une maitrise de la langue commune très approfondie...

-Oliviel,c'est le mien.


Oliviel s'approcha d'elle doucement et vint déposer un baiser sur la joue enflammée de la belle.Elle se blottis alors contre lui,le serrant fort,comme si elle voulait se fondre en lui...Le guerrier se laissa faire et il restèrent un moment ainsi, lorsqu'il sentis un frisson parcourir le dos de la jeune femme, il défit sa cape et la posa délicatement sur les épaule de nina.

Il commence a faire froid, rentrons...

Il montèrent sur leurs montures qui étaient restés sagement brouter l'herbe alentour et se mirent au pas en direction des grandes portes de la cité.Un silence s'était a nouveau établis entre eux qu'oliviel brisa...

-Je t'enseignerai quelques base de kendo et d'escrime...tu te défend pas trop mal mais tu ne sais pas te battre...Tu le saura bientôt, et tu deviendra ma garde du corps personnel...

*et ainsi je t'aurai toujours près de moi pour veiller sur toi...*


-...

Elle avait déjà donné son nom, c'était amplement suffisant pour le moment.Elle refusait a nouveau de parler mais cela ne cassait rien au charme qui oppérait, bien au contraire...Les portes de la villes se déssinèrent plus précisément au loin et bientôt, dans la pénombre de la nuit, on entendit grincement des gonds des portes, se mêlée a l'ambiance joyeuse de la vie nocturne de Rome...
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeVen 7 Mar - 19:26

Le soleil était haut dans le ciel, aux zénit, et bien plus que la chaleur, la joie et la bonne humeur réchauffait le coeur de la ville.Les paria devait recevoir leurs châtiment et tout le monde sentait qu'un grand évènement devait ce passait...

Oliviel avait passé les deux dernier jour a l'éducation de nina qui en dehors de sa connaissance de notre langue et de la celle que l'on parle vers sunliao la pauvre petite était bien peu instruite.C'était donc sous la tutel du guerrier qu'elle avait commencer a apprendre l'écriture.Cependant en debut de matinée lorsqu'elle voulut se joindre a oliviel pour aller en ville celui-ci refusa...

-Tu n'est pas assez forte pour être mon garde du corps pour le moment...entraine toi et travail tes lettre... Romulus !

-mais...


-oui, maitre.

-garde nina et aide là a faire ses exercices si elle le désire...je reviendrai ce soir pour le souper...

-mais...


-très bien !


C'est ainsi que le guerrier quitta son domaine,se dirigeant vers le centre, suivant le peuple.Il avait assisté a tout les évènement qui avait suivit l'épuration des païens et c'est d'un avis neutre qu'il avait assisté a toutes les exclamations qui fusaient autours de lui au fur et a mesure...Le guerrier avait vu beaucoup de sang couler et beaucoup d'yeux perdre leur étincelle de vie glissant le long de son glaive pour se réjouir ou être répugné d'un sacrifice d'un homme, fussent-ils païens ou sénateur.Mais ainsi aller la vie de la cité qui l'a vue grandir et s'épanouir alors comme le peuple dont il faisait partit, il assista a toutes les scène et écouta comme un élève les paroles et décisions de la maitresse des lieu,la grande et vénérée vestale, Lucrezia.

Tandis que l'enceinte maudite se vidait lentement dans le brouhaha des murmures satisfait,le corps du jeune sénateur était emmené et le clan que formait le groupe de sénateurs présent fut escorté de bonne garde dont le père de jeune homme qui malgrès ses efforts,on pouvait distinguer un rictus de colère au coin de ses levres plissées et de ses tempes.Oliviel quand a lui s'éloigna doucement,a la sortis comme il l'avait demander, un de ses laquais l'attendait avec son cheval scéllé pret a être monté.

-merci marlonne, tu peut y aller...

l'esclave s'inclina rapidement avant de disparaitre dans la foule ambiante...Oliviel monta sur le dos du bel étalon et vit alors un noble qu'il cotoyait en ses temps perdue.Il le salua de la main avant de disparaitre vers les étendue verdoyante d'une foulée rapide.

----------------------------------------------------------------------

Cela faisait bien quelques deux trois heures qu'oliviel se baladait,tanto a pied la bride a la main, tanto chevauchant face au vend,savourant le fouet du vent sur son visage buriné par le soleil.Il était en train de se reposer sur le haut d'une colline,assis dans l'herbe lorsqu'il vit au loin deux silhouettes.Une,visiblement plus fine que l'autre essayait visiblement de le distancer sans pour autant fuir...Intrigué, le guerrier se concentra sur sa vue et distingua a sa grande surprise la première vestale en personne.

Il s'amusait a l'observer,elle marchait frénétiquement, mettant toujours quelques mettre de distance entre elle et apparemment sa garde rapprochée.Oliviel ne sentait pas que dans sa main, la bride tirait un peu.La vestale était presque un demi-dieu dans la cité et des moments de son intimité comme celui-ci n'était pas donné de voir a qui que ce soit du peuple ci ce n'était une grande personnalité.Le guerrier s'étonnait de sa grâce malgrès un public absent, tout chez elle paraissait majestueux...

Oliviel aurait bien aimer l'observer de loin ainsi encore un moment mais le bel étalon se fit plus pressant dans ses manifestation et il commença a hennir doucement et sébrouer...
Se relevant et lui flattant l'encolure,son maitre tenta de la rassurer...

-he bien que se passe-t-il tu est bien nerveu...sa ne te ressemble pas...

C'est alors qu'il vit apparaitre une troupe de cavalier en armes, chargeant droit devant eux passer a une trentaine de mètre de lui.Sa rêverie avait comme absorbée son attention et il n'entendit pas le groupe arriver contrairement a son destrier.C'est alors qu'il constata avec effroie que le groupe chargait en direction de lucrezia.Un petit malaise le prit au tripe comme lorsqu'il était dans l'arène et qu'il sentait que quelque chose de mauvais aller arriver...

Ni une ni deux il monta en scelle et sans avoir besoin de talonner, le puissant quadrupède se lança sur la trace des assaillant défiant le vent en vitesse.La monture et le cavalier faisait qu'un, s'accordant l'un et l'autre dans leurs mouvement pour une meilleur accroche et stabilité dans la course.Bientôt le groupe fût rattrapé et les deux trainard n'entendirent pas le son du sabre que sortis Oliviel.Un premier coup fut donner,tuant net,le cavalier glissa a bas de sa monture mais lorsqu'il toucha le sol,mort, les autres étaient déjà loin...

Le second tourna la tête juste a temps pour voir le soleil se refléter sur la lame,tandis que celle-ci devenait de plus en plus fine a mesure qu'elle se rapprochait, ne ressemblant plus qu'a un fil. Une pénétration de la chair parfaite,une inclinaison de la lame que seul maitrise de grand épéistes dans ces conditions là.Le second corps inerte tombait.Le cris étouffé par le vent qu'avait lancer l'homme,mort deux seconde plus tôt avait averti ses camarade qui sortirent a leurs tours leurs armes.Deux des leurs se virent rattraper et le tintement des fers sonnèrent tel un sifflement dans le vent témoin de cette chevauchée épique...

Le combat désavantager en nombre et en élément pour le guerrier qui préférait croisé le fer les deux pied a terre fut rude mais il s'en sortis indeme. Un autre des assaillant était exécuté alors que le groupe de cavalier s'arrêta.La vestale était atteinte.

Le garde avait fait son travail et la vestale commença a prendre de la distance tandis que celui-ci barra le chemin des guerriers,déscendu de cheval.Oliviel acheva son adversaire esquivant sa hache dont il attrapa le manche pour retourner celle-ci contre son maitre...Il eu tôt fait de se mettre a terre et de rejoindre la bataille qui s'était engager entre le garde et le reste du groupe.

Le sang giclée, les cris fusaient.Le tintement des lames ajoutait au tumulte de la bagarre...Bientôt le garde tomba mort,emportant trois hommes dans son oublie en plus des quatre autres préalablement éliminé.Oliviel se retrouva inférieur en nombre mais il connaissait ces situation par coeur étant son quotidien pendant de longues années.Il ramassa un second glaive au sol et fit fasse se postant de manière a pouvoir utiliser ses meilleur bottes secrete,celle qui lui avaient valut le prestige et la gloire dans l'arène...

Tous se regardaient Oliviel qui lui dévisageait chacun des meurtrier en mission.Lorsqu'il s'était mis en place il s'aperçut que plusieurs visage avant dur et menaçant s'était blanchis et deux d'entre eu déglutirent avec difficulté.

-vous allait au cirque messieurs ?

S'en suivit un assaut d'oliviel qui fit reculer ses ennemis en en éliminant un au passage...La bataille ne dura pas longtemps,la moitié redoutait a présent le combat et l'autre moitié ne comprenait plus ce qu'il se passait,la situation était passé en faveur du gladiateur qui eu tôt de finir d'achever ceux qui ne fuyèrent pas, tranchant les membres passant a sa portée, divertissent les pauvres hommes d'un spectacle d'escrime présent dans les cirque les plus réputé du monde, un spectacle funèbre pour leurs dernière vision, avant de quitter se monde pour une infinité de supplice passé dans l'âbime réservé au damnés.

La vestale, sans doute par les ordres de son seviteur avait fuit la scène et avait courut le plus loin possible, oliviel la rattrapa son cheval noir suivant son maitre qui montait une jument alezan.Il eut tôt fait de rattraper la cible de ces assassins...

Il descendit de sa monture, s'inclinant devant la grande prêtresse.

-vestale,votre vie est sauve,je vous prie de bien vouloir accepter de monter cette jument afin que je vous raccompagne en sureté.

Oliviel n'avait jamais était douer pour parler a ses supérieur et faire des courbettes. Il était conscient qu'il s'était prit de manière maladroite pour se présenter mais il était née pour commander et diriger et elle n'était pas en position de s'en plaindre pour le moment.Malgrès cela et une répugnance a le faire il resta incliner en signe de respect,attendant la permission de se relever devant celle qui de ci près ne ressemblait qu'a une femme magnifique et fragile.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeVen 7 Mar - 20:43

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6


Elle avait besoin de sortir. Sa charge était trop lourde dans des moments pareils. Les sacrifices de deux innocents étaient lourds à porter.
Lucrezia savait l’amour de Drusus Antoine et Emilia. Cette dernière était tellement prévisible. En voyant son amant rompre son soit disant serment, elle allait se suicider. Et lu avait eu raison. Elle en était désolée pour les deux morts. Mais maintenant Reptus Veronus était sans héritier et ne pouvait en avoir sans perdre sa place au Sénat.


Maintenant elle avait besoin de solitude. De paix et de silence. Les jardins du palais étaient encore combles. La fête avait été annulée mais les Sénateurs avaient décidé de faire acte de présence pour participer au triomphe malgré tout. Ils ramassaient les morceaux que Lu leur laissait ces charognards.

Elle décida alors sur un coup de tête de sortir de la ville. Là bas elle serait elle-même. Comme elle était avant de devenir la Grande Vestale. Elle savait que son mari était en réunion avec des généraux pour tenter de porter un coup fatal aux barbares qui continuaient à titiller leurs défenses du sud. Son frère était avec les sénateurs, comme Gracchus. Autant dire qu’elle devait rester seule. Ce n’était pas plus mal. Son mari ne savait rien de ses manigances et s’affligerait de ce drame. Quand à Lucius et son conseiller, ils la féliciteraient. Elle n’était plus d’humeur à faire face à ses actes. Elle avait perdu une sœur de cœur à cause du Sénat.

Depuis le balcon, elle secoua la tête, fit demi tour et sortir en trombe de ses appartements en attrapant un châle de la couleur de sa robe, d’un jaune lumineux. En chemin elle croisa un garde.


Toi, tu me suis. Ne pose pas de question.


Il s’inclina et emboîta ses pas. Dans les couloirs, elle ajusta son châle pour cacher son visage et ses riches atours. Elle passait seulement pour une riche noble qui se promenait.

Très vite elle sortit de la ville. Dès la fin des murailles, les dalles disparaissaient pour laisser place à de vastes espaces boisés et de grandes prairies. Lucrezia s’avança, déterminée. Elle enleva son châle et joua avec dans le vent. Elle avait l’impression d’avoir à nouveau 12 ans et d’être libre. Le soldat restait toujours en retrait. Elle aurait pu le semer si elle avait voulu. Mais autant dire que les hommes de sa vie allaient hurler.

Le vent leva une de ses mèches et elle tourna la tête la rabattit derrière son oreille. Elle jura avoir vu un homme au lieu mais pensa à une illusion continuant sa promenade.

Elle fit plusieurs pas quand elle vit un groupe de cavaliers qui filaient vers la ville… ou elle… De là où elle était pas moyen de savoir. Sa gorge se serra. On était au sud de la ville. Des messagers pour prévenir d’une attaque à la frontière ? Un carnage ? Elle s’avança à leur rencontre pour les interroger.
Mais déjà elle voyait des lames.
Personne ne pouvait rentrer armé dans le Pomerium, dans la ville. C’était donc pour elle.


La peur lui noua le ventre et elle se sentait paralysée. Le garde le comprit et lui donna des consignes qu’elle n’entendait pas. Elle les voyait arriver vite. Très vite. Trop vite. Elle blêmit.

Grande Prêtresse, fuyez vers la ville. Courrez le plus vite possible.

Trop tard, les hommes étaient autour d’elle et la menaçaient. Elle reculait essayant de se cacher derrière le soldat. Mais une ombre derrière ses assaillants… Elle n’avait donc pas rêvé. A deux ils parvenaient – même difficilement – à tenir les hommes à distance. Elle courut le plus vite possible sans se retourner. Surtout pas. Vite. Le palais.

Elle courrait mais déjà un cheval la poursuivait. Elle voulait crier, hurler et dire à quel point elle avait peur mais les mots ne sortaient pas de sa bouche.

Il arriva devant elle finalement, bloquant son passage. Elle s’arrêta et releva les yeux. Elle reconnut l’homme qui avait aidé le garde mais il était armé. Elle recula. Un piège sans doute.


-vestale, votre vie est sauve,je vous prie de bien vouloir accepter de monter cette jument afin que je vous raccompagne en sûreté.


L’homme s’inclina devant elle. Elle resta médusée. Un piège… elle allait s’enfuir… il le fallait mais elle n’y arrivait pas… elle avait peur… Un piège… et sinon… Elle lui devait la vie…

Elle fit quelque pas en arrière.


Relevez vous… Restez loin !

Elle avait sorti une dague de son sein et le menaçait comme elle pouvait. Mais elle tremblait tellement qu’un souffle de vent l’aurait désarmé.

Elle finit par murmurer un faible
‘merci’ sans être capable de plus.

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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeVen 7 Mar - 21:30

Relevez vous… Restez loin !

Elle était aussi blanche que le marbre et on aurait dit que le vent allait la faire tomber...néanmoins Oliviel ne voulait pas la brusquer.il se redressa et se contenta de la dévisager...Elle le regarda un instant, le regard trouble, puis murmura un merci avant de tomber lentement a la renverse pour rester inanimée sur l'herbe...

Oliviel s'approcha et vérifia que sa santé n'était pas en danger avant de la porter pour l'installer sur son cheval.

*génial, me voilà avec la femme la plus puissante du royaume, évanouie après une tentative de meurtre et aucun témoin...Je peut pas rentrer en ville je serai mort avant d'avoir atteint le palais, sa disparition a due être annoncé...m'enfin, et moi qui voulait juste rentrer et manger un bon ragout...*

Il monta sur la jument et et attrapa la bride de l'autre cheval. Il les mis au pas en direction des champ à la lisière de la forêt. arrivé sur place,on pouvait distinguer un cabanon assez vaste et abandonnée mais sans pour autant être délabré. On aurai plutôt dit un avant-poste.

-----------------------------------

Il faisait nuit a présent et les chevaux brouter au dehors tandis que du toit de l'abri s'échappait un fin filet de fumée que l'on ne pouvait remarquer a moin de vingt mètre, le toit disperçant celle-ci,la masquant a la vue des regard indiscrets.Une marmite chauffait sur les braises du feuet au dessus, embroché un lapin cuisait,embaument la piece d'un douce odeur de viande cuite...

Oliviel s'était rendu compte après le combat achevée qu'une entaille moyenne lui avait était faite sur le bas des côtes.Par chance ce n'était pas grave mais il fallait la soigner tout de même...Il était torse nu, en train de s'aposer un linge propre, imbibé d'eau bouillante sur la plaie lorsqu'il sentit un présence derrière lui...Il ne l'avait pas sentit se lever, depuis combien de temp avait-elle repris ses ésprit ?

-vous êtes enfin réveillée...dit-il d'une voix posée.

Il était en train d'essayer de s'attacher le linge dans le dos afin de le maintenir comme compresse le temp de rentrer chez lui lorsqu'il sentit une main douce lui prendre le linge des mains et faire un noeud sérré.

-oui...

Oliviel se retourna et renfila le haut de sa tenue.En se retournant brusquement il avait crue voir un visage un peu perdue et innocent mais ce fut surement une illusion car lorsqu'il la regarda a nouveau elle venait de saisir sa dague et le menaçait d'un air impassible...Oliviel la regarda l'air amusé tout en reboutonnant sa chemise

-je ne pouvais pas rentrer en ville avec vous dans cet état, j'aurai été mort a votre réveil...le lapin est cuit,c'est pas du grand luxe mais si vous voulez manger avant de rentrer il est là pour sa...


-qui êtes vous ?

-sinon on peut aussi rentrer tout de suite et le laisser ici...

-qui êtes vous ?

Oliviel leva les yeux vers elle et sourit légèrement, bien qu'elle ne fut pas plus que lui en cet instant, elle se comportait toujours comme si elle pouvais tout contrôler mais pas comme si ça lui était monté a la tête mais plutôt parce que c'était dans l'ordre des choses...
Le guerrier découpa un morceau de lapin et le goutta tandis que lucrezia l'observait impassible un pincement au levre, l'impatience commençant a se faire sentir.

-Oliviel Decimus Meridius, fils de Maximus Decimus Meridius, pour vous servir votre grâce... mais je doute qu'un de ces nom vous en disent plus a mon sujet. Du lapin ?
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeSam 8 Mar - 13:20

7



Elle le fixait tant bien que mal mais sa vision se brouillait doucement. Elle se sentit glisser au sol sans pouvoir rien faire et sombra dans l’inconscient.

Elle était où ?ce fut la première question qu’elle se posa ? L’odeur de nourriture était étrange. Dans ses appartements, on ne sentait jamais l’odeur des cuisines qui étaient très éloignées, pour son bien être. Elle chercha dans sa mémoire ce qu’il était arrivé et son premier réflexe fut de se redresser et fuir. Mais elle se retint. Elle devait rester dans cette position. Elle ne savait pas ce qu’il se passait.

Elle ne bougeait pas, cherchant de ses yeux légèrement entrouverts le décor de la pièce. Très vite elle prit conscience qu’il faisait nuit. L’avait on drogué ? Sa bouche était sèche et un peu pâteuse. Mais vu la durée de son évanouissement c’était normal. Alors quoi ? Juste ça ? Évanouie ? Elle se sentait mal, un peu nauséeuse. Avec les émotions de la journée aussi…

Un mouvement vers le feu lui fit tourner très légèrement la tête. Elle avait du mal à distinguer la silhouette. Ouvrant un peu plus l’œil, elle vit de dos l’homme qui semblait l’avoir sauvé. Mais rien n’était moins sur.



Les ennemis de tes ennemis ne sont pas des amis pour autant Lucrezia.
Mais mère, s’ils nous aident…
ils peuvent te vouloir tout autant de mal. Souviens toi… le père de ton fiancé a été assassiné par celui qu’il avait sauvé… Au nom de l’inimitié qu’ils entretenaient pour le proconsul de l’époque. Comme quoi il peut être bon de se débarrasser d’un ennemi, mais parfois tu en gagnes un pire. Ne tue jamais un ennemi, mais mets le à terre. Ça mate les autres un temps.

Une des leçons de politique de sa mère. Combien de fois avait on tenté de l’assassiner ? plus de fois qu Lucrezia n’avait d’années. Peut être même le double. Les tentatives de coup d’état, les scandales du Sénat, les blessures dont elle sortait miraculée… Que de drames sa mère avait vécu et tant de dangers. Mais le royaume était la priorité absolue.
Elle détestait le Sénat parce qu’il voulait le pouvoir pour lui seul. Elle qui préférait un équilibre sain. Et que chacun reste à sa place.

Cet homme en face d’elle… Quelle était sa place.
Il était maintenant torse nu et tentait de fixer un linge sur une blessure. Elle le regarda un instant. Il avait tué bon nombre de ses assaillants. Les paroles de sa mère résonnaient au loin et elle les fit taire.

Elle se leva, ajusta son châle sur ses épaules pour ne pas passer pour une femme aux mœurs trop légères. A cette pensée elle sourit amusée. Mœurs légères. C’était la base même de la capitale. Mais une Vestale devait faire preuve d’une certaine discrétion à défaut de retenue. Sur la table elle attrapa sa dague. Il l’avait laissé là… Soit c’était un « ami » soit il était trop confiant et bien imprudent.


-vous êtes enfin réveillée...

Lucrezia stoppa le geste qu’il faisait pour attacher le bandage et le fit elle-même. Combien de fois son mari avait il fait des siennes dans l’arène aussi ? Ou au combat ? À son retour dans la cité, bien souvent après une longue chevauchée, ses blessures se rouvraient et Lu se chargeait de le soigner.
Une fois le bandage bien serré, elle lâcha un « oui » monocorde.
Elle fit un pas en arrière alors qu’il se rhabillait et le menaça de la dague. Elle voulait d’abord qu’il réponde à des questions. Et puis pourquoi ne l’avait il pas ramené au palais ?

Il sembla répondre à la question muette.


-je ne pouvais pas rentrer en ville avec vous dans cet état, j'aurai été mort a votre réveil...le lapin est cuit, c'est pas du grand luxe mais si vous voulez manger avant de rentrer il est là pour ça...

Elle ne baissa pas son arme pour autant. Qui était donc cet homme. Il y avait quelque chose chez lui. C’était étrange. Son regard noir peut être.


-qui êtes vous ?
-sinon on peut aussi rentrer tout de suite et le laisser ici...

Il se fichait d’elle ? Il croyait qu’elle allait manger un lapin ? il pouvait très bien l’avoir empoisonner. Quant à rentrer, c’était juste pour détourner l’attention. Elle était peut être séquestrée. Par contre pour la dague ça ferait une sacrée boulette.

-qui êtes vous ?

Elle était déterminée à le savoir. Quant à lui… Il la laissa muette de surprise. Comme si de rien n’était il était parti s’asseoir avec son lapin. Maintenant il le découpait. Lorsqu’il avala le lapin, elle fut tenter de découper l’homme en morceau. N’était elle donc qu’un paquet pour qu’il l’ignore ainsi ? Pourtant il savait qui elle était. Etait il un chrétien qui rejetait son autorité simplement parce qu’elle avait sa propre foi ? une vague de haine lui monta à la gorge. N’avait elle donc que des ennemis. Une folle envie de se retrouver dans son palais loin de tous la gagnait.

-Oliviel Decimus Meridius, fils de Maximus Decimus Meridius, pour vous servir votre grâce... mais je doute qu'un de ces nom vous en disent plus a mon sujet. Du lapin ?

Elle entrouvit la bouche pour répondre mais ne trouva rien à dire. Maximus Decimus Meridius… Elle avait entendu ce nom. Mais où ? Un vieux sénateur ? Son frère le lui dirait. Si jamais elle revenait vivante.


En tout cas le lapin était comestible pour l’homme qui mangeait tranquillement. Elle avait faim. Elle le réalisa alors. C’était l’odeur de la viande qui l’avait mise en appétit.

En silence elle mangea un peu, cherchant d’où elle connaissait Maximus Decimus… Si ce n’était pas au Sénat… Un familier d’une ancienne Vestale ? Non… Pas de Meridius. Ce nom était éteint c’était certain. Sauf l’homme en face d’elle. Alors quelle famille s’était éteinte… C’était alors un plébéien ?

Elle releva soudain la tête…


Le général Maximus Decimus Meridius ? Le premier maître d’arme de mon mari ?!
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeSam 8 Mar - 17:40

oliviel leva les yeux vers la vestale afin de plonger dans son regard...Elle était resté muette pendant un moment et il ignorait a quoi elle pensait mais de toute les possibilités il ne pensait pas qu'elle cherchait...son nom.
Il l'oberserva un moment avant de reporter son attention sur son lapin.Il en mangea un morceau et apperçut du coin de l'oeil la vestale qui parraissait satisfaite de sa réponse...

-en effet,il était général...

Le guerrier se rappelait les longues matinée ensoleillée où il se baladait avec maximus,apprenant l'histoire de la famille qui au fur et a mesure que les années passaient, devenait la sienne...
**tu sais Oliviel,dans la famille nous avons toujours servi vestalia pour son interet et non le notre...
mais alors pourquoi vous a-t-on oublié père,ce son des ingrats !
mais non mon fils...réfléchis,que t'est-je enseigné?La vérité c'est que nous sommes des guerriers et généraux aux service de cette patrie que nous aimons,nous faisons la guerre pour elle.On retient ceux qui sont sur le devant de la scène et si la cité est en paix,les généraux tombes dans l'oublie...c'est ainsi notre lot et c'est la plus belle récompense que l'on puisse recevoir.Nous avons protégé vestalia et son peuple et nous avons gagné maintes contrée pour eux...Nous recevons la reconnaissance des gens par leur prospérité et leurs bonheurs.**

Oliviel regarda a nouveau la vestale, elle attendait visiblement plus de précision...

-Je ne sais pas si c'est lui qui entrainait votre mari...

Elle n'était toujours pas satisfaite mais Oliviel n'avait pas vraiment pour habitude d'étaler sa vie devant une inconnue, fusse-t-elle vestale.Et puis cela n'aurait bientôt plus d'importance, elle aller rentrer au palais et l'oublier et demain oliviel donnera un cours de lettre a nina.
Il se leva sans prévenir et visiblement cela surpris lucrezia qui se leva d'un bond, la dague a la main...

-hey !

-quoi hey ?

Elle recula d'un pas, un peu surprise, un air béat sur le visage. Oliviel souria et eu du mal a le caché.Il se rendait compte qu'on n'avait pas due lui parler comme sa depuis bien longtemp...

-Si j'avait voulut vous tuer...

Il s'aprocha d'elle jusqu'a sentir la pointe de la lame sur son ventre.Il sentait qu'ell tremblait un peu a nouveau...Il avança malgrès tout tandis qu'elle reculait...Il tendit la main derrière elle et fit un pas en arrière tirant apportant son glaive qu'il venait de saisir a hauteur d'yeux de la belle.

-ce serait déjà fait depuis longtemp...

-heu...

Pour la première fois depuis qu'il l'avait vue,la vestale paraissait gênée...Il préféra ne pas en rajouter et couper court a ce sujet pour ne pas la mettre en défaut...

-Si tu a fini de manger nous allons y aller,il commence a faire tard et si l'on s'attarde encore la ville sera sur le pied de guerre d'ici peu.

Il s'arrêta net,il venait de la tutoyer...mais qu'avait-il aujourd'hui ? Il n'aurait jamais commis une tel erreur en temp normal...Il la regarda,observant et charchant le moindre geste de sa part il était peu être allé trop loin cette fois,qu'allait-elle faire? sera-t-il punit pour cet afront?
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeMer 12 Mar - 10:55

8

Il tenait son glaive en main. Elle invoqua Hestia pour sa protection.


-Si tu as fini de manger nous allons y aller, il commence à faire tard et si l'on s'attarde encore la ville sera sur le pied de guerre d'ici peu.

Lucrezia le fixa incrédule. Il plaisantait non ? Il ne comptait pas reprendre la route maintenant ?
Et comment osait il autant de familiarité ?!
Elle fit un pas en arrière, ajustant son châle sur ses épaules, dans un réflexe protecteur.

Non, je reste ici.

Elle ne lui laissa pas le temps de réagir. Elle se retourna et commença à fouiller la bicoque.
Personne n’aurait sa peau. Elle se demandait si elle ne devenait pas paranoïaque. Elle chassa vite cette idée. Après tout on avait tenté de la tuer.
Elle finit par trouver ce qu’elle voulait. C’était loin d’être parfait mais ça ferait l’affaire.


Elle tenait en main un encrier et de vieux parchemins. Elle s’approcha du feu ou réchauffer l’encre et griffonna quelques mots, sans prêter garde à Oliviel qui faisait les cents pas derrière elle.

Quand elle eut fini, elle ôta son riche collier qui maintenait sa robe. Elle tenait le haut de sa robe d’une main.
Négligemment, elle lui tendit le bijou. Voilà, remettez ceci à mon mari. Et ce papyrus aussi. Elle enleva une bague, laissant glisser un peu le tissu. Elle se rajusta et continua comme si de rien n’était.


Voilà de quoi rentrer dans la ville. Cette bague est votre laissez passer. Elle est le symbole du Sénat. Mes ennemis penseront que vous êtes un de leurs alliés.
Mais… Et t…Vous ?
Moi ? Réfléchissez vous donc parfois ? Vous avez tué mes assaillants certes ! Mais combien m’attendent devant les portes de la cité ? Allez chercher mon mari et une troupe. Qu’ils viennent me chercher.

Ignorant les regards d'Oliviel, elle retourna là où elle avait trouvé le papyrus et saisit un livre. Elle allait devoir s'occuper avant d'être secourue. Et il faudrait aussi qu'elle fixe mieux sa robe tout de même.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeVen 14 Mar - 18:23

Oliviel fut quelques peu irrité lorsqu'elle refusa de partir mais il s'y attendait.Il se mis a faire les cents pas derrière elle,se demandant dans quels ennuis elle allait encore le mêler.
Il la vit sortir un parchemin et se mettre à écrire.Il faillit lui faire remarquer que l'heure n'était pas vraiment a la calligraphie mais il se résigna a faire silence,pensant a sa position de simple noble.Il la regardait discrètement, les flammes dansant sur sa peau douce,ses yeux brillant soudain d'une vive lueur lorsqu'une braise éclata.Cet femme était d'une beauté incroyable, mais elle était aussi vestale et mariée a un géneral...

Elle se releva,le tirant de sa rêverie et bizarrement elle commença a défaire sa robe pour le plus grand étonnement (et plaisir Hors de la ville [RP public] 615442 ) du guerrier.Elle lui tendit alors le bijou et donna ses explications relevant sa robe qui descendait peu a peu...

Oliviel fit demi tour et commença a partir lorsqu'il acheva de penser un peu aux atout physique de la vestale et se remémora ce qu'elle venait de donner comme instruction...

-heu...

il se retourna et se trouva face a lucrezia,un air interrogateur sur le visage.

-oui?

-je suis pas d'accord...

-pardon?

Un éclair menaçant passa dans ses yeux en plus d'une autre que le guerrier n'arriva pas a identifier.

-oui ma dame, vous n'êtes pas sans savoir que j'ai était instruit moi aussi.Et je connais ces conflit malgrès que je n'en est vécue.


elle semblait un peu impatiente et toujours un peu irritée.

-oui et alors ?

-alors j'ai était négligent tout a l'heure mais je fait maintenant le rapprochement entre la lapidation et cet attentat...et je ne part pas...

-hein?

-oui...je ne part pas.Certain de mes hommes m'attendent depuis bien plus longtemp que l'on ne vous attend vous et je ne doute pas qu'ils ne vont pas tarder,ce sont d'ancien gladiateur dont un ancien pisteur d'un royaume lointain.Ils auront tôt fait de retracer mon parcourt jusqu'ici et vu que l'attentat a échouer le commanditaire ne peut se permettre de vous laisser rentrer saine et sauve pour préserver sa propre vie...Ils sont sans doute eux aussi a votre recherche et nous ne somme pas très éloigné du lieu du combat car vous étiez mal en point je vous rappel...


-justement ! dépêchez vous de prévenir on mari !


-Pour vous retrouver morte ?

-...

Oliviel se fit plus doux,s'approchant un peu de la vestale qui leva sur lui des yeux de félin sur le point d'attaquer,les pommettes quelques peu rosie,tenant toujours sa tunique.Il s'approchait peu a peu tout en lui parlant.

-écoutez, ce n'est pas évidant d'être a votre place et je comprend votre envie d'en finir vite mais le mieux que l'on puisse faire est d'attendre,je ne peut me résigner a vous laisser sans surveillance et je ne peut vous protéger correctement dans la ville...lucrezia...

-co...comment osez-vous...

Le guerrier posa un doigt sur ses levres la faisant taire de stupefaction...Il fit glisser son doigt le long de sa joue bouillante et rougissante.Il passa alors les bras autour de son cou et il vit qu'elle allait protester lorsqu'elle sentit le guerrier remettre son collier...

-rhabillez-vous majesté...
*vous me tentez*


Maintenant qu'il la voyait d'aussi près, cette femme puissante et influente,au caractère stricte et impérieux laissait paraitre un visage effrayé sur lequel dansait les flammes mais là encore elle la masquait de par son attitude sereine mais étrange au yeux du guerrier qui fut surpris de ne pas se retrouver assaillit de protestation et de menace de par ce qu'il se permettait...Elle paraissait tellement humaine a présent.Bien loin de lui était a présent l'image de la maitresse de la cité,demi-déesse régnante, il découvrait la femme qui se cachait dedans...
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeSam 15 Mar - 17:39

9.

Le refus d’Oliviel la paniqua. Elle sentait que le danger augmentait. Et pas qu’avec ses ennemis. Le comportement de cet homme était des plus étrange. Il n’était pas cohérent. Il essayait de lui faire peur.

A chaque pas qu’il faisait elle menaçait de reculer. Elle maintenait pourtant sa tête droite. Elle préférait mourir avec sa fierté. Son honneur.

Le regard de cet homme semblait l’hypnotiser. Mais hors de question de détourner les yeux. C’était à lui de retrouver sa place de subalterne.

Subalterne… il lui sauvait la vie et se montrait méprisante. C’était peut être le mieux. Parce qu’avec lui elle pourrait peut être perdre bien plus que sa vie. Elle frémit, se demandant là ce qu’elle imaginait.

Elle resserra le bras sur sa tunique. Elle se trouvait soudain trop peu vêtue.


Écoutez, ce n'est pas évidant d'être a votre place et je comprend votre envie d'en finir vite mais le mieux que l'on puisse faire est d'attendre,je ne peut me résigner a vous laisser sans surveillance et je ne peut vous protéger correctement dans la ville...


Elle regarda par-dessus l’épaule d’Oliviel. Elle ne le voyait plus. Elle sentait qu’elle devait faire quelque chose. Il en allait de sa vie.


lucrezia...

Son prénom la tira à la réalité. Une alarme tinta. Elle ne savait pas comment réagir.

-co...comment osez-vous...

Réflexe de défense. Il fallait maintenir la distance.
Il posa soudain un doigt sur ses lèvres. Elle frémit comme si c’était là une caresse. Personne n’avait jamais eu autant d’audace.
On ne touchait pas une Vestale ainsi. Et lui… Il n’en était même pas à son premier coup d’essais. Sa main glissa sur son visage. Elle sentait les cals de l’homme. Un vrai guerrier pas de doute. Il avait les mêmes que son mari.

Elle comprit alors qu’il rajustait son collier.

-rhabillez-vous majesté...

Ce n’était plus de l’audace mais du suicide.

Vous osez ! Vous… Vous n’avez donc aucun savoir vivre !
Mais…

il la regardait médusé.

Mais quoi ? Vous êtes là à me faire la morale sur ma tenue ? Vous prenez vous pour le Conseil de la Vertu ? Nous ne sommes pas au Sénat ici !


Vexée, elle lui tourna le dos. Elle rajusta sa robe sous le collier tant bien que mal. Deux grandes mains, visiblement peu habituées aux attaches finement ouvragées, tentèrent de l’aider.
Mais à 4 mains, ils étaient encore plus malhabiles que Lucrezia toute seule.
Soudain la robe glissa jusqu’à la taille.

Jamais Lu n’avait senti peser un regard aussi lourd dans son dos.
Finalement agacée de se sentir ainsi jugée, elle lui tapa sur la main et elle maugréa :


C’est bon, laissez moi me débrouiller.

Elle se sentait gauche, humiliée. On disait d’elle qu’elle était belle. Mais là elle avait l’impression qu’il la prenait pour un sac à patate.

Au bout d’un moment, elle était parvenue à trouver un semblant de descence. Elle fulminait. Elle détestait les prudes. Et lui avec son ordre de la rhabiller… s’il ne lui avait pas sauvé la vie, elle l’aurait fait décapiter.


Il ne me reste donc plus qu’à faire une chose pendant que vous allez veiller à ma sécurité.
Ah ? Quoi donc ?
Dormir !
Dormir ?
Oui dormir ! Vous savez… S’allonger, fermer les yeux et partir dans le royaume du Songe. Peut être les astres me guideront ils vers mes ennemis ainsi. Je ne vous souhaite pas la bonne nuit, vous devez rester éveillé !

Lucrezia fila au fond de la pièce et s’étandit un instant. Très vite l’inconfort de la paillasse la fit se retourner. Maugréant sur le manque de civilisation au dehors de la cité, elle tourna volontairement le dos à Oliviel.

Elle lui lança soudain :

Et si vous avez le temps, n’oubliez pas l’eau. Les ablutions sont un devoir sacré pour les Vestales. Eau tiède… Avec un peu de lait pour adoucir ma peau si possible. Je vous en serais fort grée.

Lucrezia savait pertinament que c’était impossible. Mais au moins il allait craindre sa colère un moment. Elle allait lui faire payer l’affront qu’il venait de lui faire subir.

Les émotions l’avaient éreintées. La matinée était déjà un peu avancée quand la grande Vestale se réveilla.
Ses rêves l’avaient conduit comme prévu.

Elle vérifia que sa robe était bien mise, histoire de ne pas choquer monsieur. Elle le trouva dehors, devant la cabane.

Elle ne prit même pas la peine de le saluer.

Nous ne retournerons pas en ville. Nous partons pour l’est. En direction de Augurae ! Nous allons chercher une prophétie. Les signes de l’avenir. Nous allons trouver mes ennemis. Et je les tuerais de mes propres mains.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeDim 16 Mar - 15:23

lucrezia partit s'alonger dans le fond de la piece, n'insistant pas pour recevoir l'eau tiede et le lait que de toute façon oliviel n'aurai put lui fournir...Sur le moment le guerrier ne sut comment définir ce qu'il ressentait mais cela se trouvait entre stupide et gêné de ses manière mais il n'en fit pas mention naturelement...

Il alla s'assoir et regarda a travers les restes de la fenêtre,gêtant un geste ou une activité suspecte.Rien.Le temp passait doucement et bien on n'entendit plus que le crepitement du feu et les bruit de ma vie nocturne,animée par les oiseaux nocturne et la traque de quelques animaux a la recherche de leurs repas.

La vestale quand a elle s'accomodait aussi peu du confort primaire dans son sommeil que lorsqu'elle était éveillée et elle ne tarda pas a s'agiter quelque peu.Oliviel subjugué et attiré par son attitude et sa beauté ne pouvait s'empêcher de l'observer d'un oeil évasif entre deux rondes.Sa tenue ayant un peu soufert de la journée passée avait a nouveau glissée,laissant le dos de lucrezia nue donnant au tableau un charme auquel Oliviel eu du mal a se tirer.

Les heures avaient défilées plus rapidement qu'il ne l'aurait crue et tandis que le soleil commencait a s'élever dans le ciel il sortis s'installer dehors afin de laisser a la vestale un réveil dans l'intimité qu'elle souhaiterai.L'horizon quand à lui deumeurait vide de mouvement.

-Nous ne retournerons pas en ville. Nous partons pour l’est. En direction de Augurae ! Nous allons chercher une prophétie. Les signes de l’avenir. Nous allons trouver mes ennemis. Et je les tuerais de mes propres mains.

-bonjour.

Il avait répondu sur un tont détaché,et bien qu'il ne l'a voyait pas directement il imaginait sans peine la réaction violente qui se préparer et il prit alors les devant pour ne pas laisser venir un afrontement inutile entre eux...

-nous ferons selon vos souhait de ce qui est de notre destination...si vous voulez bien vous preparer a partir, je vais m'occuper de scéler les chevus, nous serons partit d'ici peu.

-mh...bien.


Oliviel craignait qu'elle ne dégna rassembler les affaire trouvant sans doute que cela était une tache ingrate pour elle mais mêm e qi elle l'avait penser elle n'en dit mot et partit a l'intérieur,toujours véxée visiblement...

-----------------------------------------------------------------------------------

quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent face a face, se dévisageant l'un l'autre...Elle lui tendit le bagage qu'il saisit et fixa sur son cheval.Il l'accompagna ensuite au bas de sa monture et lui tendit une main pour l'aider a monter,ce qu'elle refusa,attrapant la bride et montant le regardant de haut une fois dessus...

-allons-y.

Oliviel lui tourna le dos, rejoignant l'étalon un sourire sur le visage...Il chevauchèrent au pas et en silence pendant dix minute lorsqu'il virent soudain un groupe arriver.Oliviel plissa les yeux se protegant des rayons du soleil pour distinguer a sa grande joie ses camarades,arrivant a pied.

Il s'apprêtait a leurs faire des signes lorsqu'il sentit une main douce serrer son poignet.Il se retourna et vit un visage inquiet dirigé vers l'opposé des amis du guerrier se transformer en un visage rayonnant...

-mo...mon...mari.

A la plus grande stupecfaction du guerrier la phrase eu un effet de coup de poing...IL se tourna et distingua effectivement un groupe monté qui de dirigait a la charge vers le groupe a pied qui courait vers la vestales et le gladiateur.

-ho non...

le guerrier talonna son cheval qui partit au galop suivit bientôt par la vestale qui compris.Il arrivèrent au milieu des deux groupes qui s'apprêtait a engager un combat sans merci.Voyant les deux chefs des groupes arrivant se promettre des morts attroce pour du crime chimérique qu'ils s'accusaient d'avoir commis...un attentat contre la vestale.Le guerrier s'appreta a intervenir lorsqu'il vit lucrezia prendre les devant...passant devant lui,chevauchant au pas,une aura imperiale l'entourant toute entière.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeDim 16 Mar - 17:31

10.

Ambiance



Heureusement elle avait toujours su faire du cheval. Son cheval filait à l’allure du vent. Ce n’était pas l’étalon qu’elle montait habituellement mais elle parvint à destination en un temps à la fois record et terriblement long.
Elle laissa le cheval se cabrer tout en restant en selle.

Elle leva alors la main vers le ciel, commandant à tous de s’arrêter.

La tension était palpable, presque électrique. Lucrezia tourna sa monture vers Oliviel.


Va expliquer à tes hommes. Libre à toi de nous suivre. Je te laisse ta liberté après l’aide que tu as fournie. Si tu décides de partir, à mon retour tu seras récompensé.

Sans attendre la réponse elle galopa jusqu’à son mari. Descendant de sa monture, elle se jeta dans les bras de son époux qui avait eu le même réflexe qu’elle.
Etrangement le souffle chaud de son mari ne lui inspirait qu’une faible sécurité. Elle regarda un instant derrière elle mais Oliviel s’adressait déjà à ses hommes.


Que t’a-t-il fait subir ?
Rien ! Hier j’ai été prise dans une embuscade.
Nous avons vu le soldat qui te protégeait. Enfin son cadavre. Et ceux des hommes. Nous avons crains le pire.
Tout va bien. Oliviel m’a amené dans une cabane pour la nuit.
Me voilà soulagé. Tu es sure que tout va bien.
Oui ne t’inquiètes pas. Mais cet attentat n’est qu’un début. J’en ai bien conscience.
Que comptes tu faire ?

Lucrezia apperçut alors son frère et son conseiller.

Ne me dites pas que vous avez laissé la ville aux mains du Sénat ?
Le Sénat est en deuil comme toute la ville. La Damnatio Memoriae a été prononcée. Tous portent front bas pour un mois.


Lucrezia fixa un bosquet qui était assez proche. Elle ne le voyait pas. Elle réfléchissait.

C’est parfait. Nous avons un deuil officiel de trois mois. Ça nous laisse le temps d’aller à Augurae.
Tu…
Non !
Par les Divinités Celestes !

Lucrezia leur expliqua ce qu’elle avait vu dans ses songes et élaboré le matin.

Ils partiraient à Augurae. Ils consulteraient les devins. C’était une ville Sacrée à l’Est du royaume. La ville était à deux semaines de cheval de là. Il faudrait traverser des chemins remplis de bandits, le Grand Fleuve Sacré et surtout la Forêt des Milles Âmes.
Sur le chemin ils stopperaient à Styxia, de façon à prendre des montures fraîches, des soldats de la garnison et des affaires pour chacun d’eux.
Lucrezia y avait un palais d’été qui surplombait la Vallée Pourpre dont le nom venait des couchers de soleil mais aussi d’une vieille légende de bataille qui y avait eu lieu.


Et eux ?

Mes trois hommes et Lucrezia se tournèrent vers Oliviel et ses hommes. Elle haussa les épaules.

Ils sont libres de nous accompagner. Et à notre retour, cet homme sera récompensé. D’ailleurs c’est le fils de ton premier maître d’armes.
Vraiment ? Il ne me semblait pas qu’il ait jamais eu de fils ?

Octavius Marcus regardait Oliviel avec une moue.

Bien… je verrais ça. Tu noteras, aimée que je savais que tu étais en vie. Voici ta monture. Et une tenue de deuil. Je pensais te ramener au palais. Mais il va te falloir garder la piété due à ton rang.
Je ne peux me changer ici.

Octavius lui indiqua le bosquet. Puis fronça les sourcils.

Ta robe est mal ajustée.

Lucrezia rougit.

Oui… Dans mon sommeil. Peu importe d’ailleurs.

Elle fila dans le bosquet et se changea. La première tenue de deuil consistait en une longue robe violette foncée, presque pourpre. Elle était vaporeuse, et de longs voiles se soulevaient à chacun de ses pas. Une cape en soie couvrait ses épaules nues. Pour fixer ses cheveux, un fin diadème enserrait sa tête. Elle ne portait que peu de parures. Ses sandales étaient un peu plus fines que de coutume et elle savait qu’elle souffrait à chaque pas sur les sentiers caillouteux qu’ils ne manqueraient pas de traverser.

Elle monta alors sur Modem qui avait un haut débit de galop et rejoignit Oliviel en compagnie de la troupe pour savoir ce qu’il comptait faire.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeDim 16 Mar - 19:26

-Va expliquer à tes hommes. Libre à toi de nous suivre. Je te laisse ta liberté après l’aide que tu as fournie. Si tu décides de partir, à mon retour tu seras récompensé.

Elle lui porta tout juste un regard avant de disparaitre,se jetant dans les bras de son mari.S'en était fini de cette brève aventure et l'ordre des choses reprenaient le dessus; la vestale retrouve son générale et le guerrier retourne dans son domaine, recevant les honneurs...

Les honneurs il s'en fichait bien, il ne courrait pas après. En revanche il se devait de rendre compte a ses hommes, fidèles amis d'une époque qui lui paraissait lointaine,celle de l'arène et des combat pour le plaisir du peuple.
Dès qu'il vit la vestale dans les bras de son mari il se dirigea donc vers ses hommes, descendant de sa monture, les saluant de la tête.Ses guerrier les plus fidèles étaient présent:
Marlonne son palefrenier,Lorik son cuisinier,Palleas le pisteur, Odios le forgeron et celui qui prenait le commandement en l'absence d'oliviel, le seul a rivaliser l'arme a la main avec celui-ci,Scipius.

-Mes amis...
-Commandant !*
-je t'est déjà dit de ne plus m'appeler comme cela Scipius.
-Et je vous répète que vous le serez toute votre vie pour nous...

Une vague d'approbation monta dans l'attention, mais oliviel préféra revenir sur les faits.

-bien...comment m'avez-vous retrouvé ?

-he bien je t'ai traqué à partir des traces du combat...
-oui,Palleas a été grandiose comme toujours... mais que s'est-il passé bon sang, c'était un carnage ?
-un attentat contre la vestale,je me suis retrouvé dans la mêlée...

Les remarques commencèrent à fuser, taquinant le guerrier sur les liens qu'aurait développer le guerrier avec la vestale et sur le fait qu'il s'était encore retrouver a se battre pour des histoires qui ne le concernait pas directement...

-sa suffis, il y a plus important les gars...Elle nous propose de la suivre a Augurae, et pour tout vous dire cela me ferai du bien de changer mon quotidien un petit peu...

-ouai c'est qu'elle t'a taper dans l'oeil la vestale !

Ils rirent tous aux éclat hormis le guerrier...

- Odios chut ! tu va te faire couper la tête abrutis !

L'euphorie des retrouvailles étant passés, ils reprirent allure et sérieux, écoutant les instructions.

-Si tu veut y aller oliviel il faut se préparer maintenant...Nous pouvons rentrer et faire de rapide préparatifs, donnant également les instructions nécessaires a la bonne tenue du domaine...


-c'est une bonne initiative, faites. Et Scipius, amène Nina si elle le désire mais prévient là de qui nous accompagnerons et dit lui qu'elle devra être vraiment discrète,je ne tient pas a voir honte de son comportement en présence du générale et de lucr...la vestale.

Tandis qu'il finissait de donner ses instruction, Oliviel vit lucrezia se diriger vers lui,ses compagnons ne voulant pas déranger et ayant beaucoup a faire en peu de temps saluèrent leurs chef et partirent au galop en direction de la capitale...

-nous vous rattraperons en cours de route oliviel ! Palleas vous trouvera facilement avec tout ces chevaux !!

-oliviel...
-lu...ma dame...
-tu as prit une décision ?
*tu ?*
-oui...comme vous avez put l'entendre je vais vous accompagner,vous êtes en petit effectif et quelques hommes de plus ne seront pas de trop je pense.

-très bien,nous allons y aller alors...


Ils se regardèrent un instant,plusieurs fois ils furent sur le point de dire quelques chose,sans doute en rapport avec ce qu'il avait vécue...mais une barrière les en empêchaient.Les deux cavalier regagnèrent alors le reste des troupes restante et tandis qu'ils arrivaient bientôt a hauteur du générale qui attendait en tête,Oliviel se décida a émettre sa seule condition.

-Cependant...
-qui a-t-il?
-he bien nous souhaitons vous accompagner mais sous un satut bien précis,mes hommes ne supporte les ordres que lorsqu'ils viennent de moi et moi je les supporte que très peu...Nous sommes sous votre autorité...mais la votre seule.

Leurs regard se croisèrent et ils se dévisagèrent, les yeux plongé dans ceux de l'autre.Un éclair de colère ou d'indignation passa dans ceux de la vestale, mais les chevaux avait continués leurs routes et ils étaient a présent arrivé au-devant de la troupe.




* il s'était en effet installé une hiérarchie dans l'académie de gladiateur ou était oliviel et a l'époque il était commandant des hommes qu'il dirige encore a l'heure actuel,ayant racheté leurs liberté afin qu'ils puissent s'il le désire vivre une autre vie.Ils se mirent tous a son service,agissant comme si oliviel les possédaient.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 24 Mar - 16:54

11.

Elle admirait l’audace de cet homme. Ne pas se plier à son mari. Pas de doute, le voyage allait être mouvementé. Oliviel et le Sénateur allaient sans doute en venir aux mains. Elle se demanda qui gagnerait.

Elle vit demi tour et regarda le groupe d’hommes qui allait les accompagner. Elle frissonna. Elle sentait un lot de mauvaises nouvelles. Malheureusement, elle n’avait pas de dons de voyance. Juste son instinct qui lui parlait de différentes catastrophes imminentes.


Mettons nous en route.

Le visage fermé, Lucrezia avait prononcé ces mots sans s’en rendre compte.
Deux éclaireurs étaient déjà partis pour vérifier le chemin.

Nous serons à Styxia dès après demain midi si nous chevauchons à bonne allure. Mais il ne faudrait pas tarder.

Lucrezia acquiesça.

Sur place nous aurons une escorte plus nombreuse.
Tu as peur ?

Le ton ironique de son mari lui fit lancer des éclairs.

Je n’ai pas confiance. Je te rappelle que Augurae est à la frontière avec les vikings. Et la cité est riche. Ils harcèlent sans cesse les murailles. S’ils apprenaient ma présence, ils pourraient tenter quelque chose de plus sérieux pour obtenir une rançon par exemple.


Oliviel restait en retrait. La troupe restait compacte pourtant. Lucrezia était au milieu en cas d’attaque.


Oliviel approche.

Les soldats s’écartèrent pour le laisser passer.

Quoi ? pourquoi cet homme ? Ce… mercenaire.
Oliviel a émis une seule condition pour nous accompagner. Il est sous mes seuls ordres. Il ne doit obéissance qu’à moi seule.
Et tu lui fais confiance ?

Lucrezia rougit. Elle pensa que cette rougeur subite ne venait que de l’insulte que son mari venait d’émettre à l’encontre d’ Oliviel.


Oui j’ai confiance. Il m’a sauvé quand toi tu n’étais pas là.

Elle accéléra un peu le pas de son cheval et s’éloigna de son mari. La conversation devait prendre fin là avant qu’elle ne se mette à crier contre lui. Il manquait parfois de tact.

Elle continua le chemin, jetant à tout moment des coups d’œil en direction d’Oliviel, ne sachant trop quoi lui dire.


Quoi ?
Quoi quoi ?
Ça fait deux heures que vous regardez dans ma direction. Un souci ?
Je suis confuse pour le comportement de mon époux.
J’en ai vu d’autres.
Ce n’était pas une raison.

Vestale !

Un des éclaireurs revenait au galop.

Des brigands à trois collines de là. Nous allons contourner par le sud. Ça rallongera le chemin d’à peine deux heures.
Ne peut on pas les affronter ?
Non ! Ils sont plus nombreux que nous.
Tu vois qu’il nous faudra une escorte.
Je suis chef de ta garde, je pense qu’il vaut mieux les affronter. Et éviter tout détour.
Je suis la Vestale et j’ai dit que nous ferions ce détour.

Elle tourna encore une fois le dos à son mari et se mit au galop pour prendre le chemin du détour.

La nuit tombée ils avaient déjà trois heures de retard.
En descendant de cheval, Lucrezia donna des commandements.


Allumez un feu !
Les provisions sont à préparer aussi. N’y a-t-il donc aucune tente ?


Elle tapait du pied.

Nous aurons tout après demain.

Lucrezia apposa ses mains sur ses tempes. Sur un chemin étroit, à peine un simple feu, une pitance médiocre, une tenue légère et deux nuits sans dormir et sans intimité. Quant à l’hygiène, elle pouvait faire une croix dessus. Et pas moyen de voyager de nuit.
La nuit appartenait aux dieux et aux esprits. Il ne fallait surtout pas songer à se déplacer. Déjà dormir dehors risquait de les maudire.


Demain Vestale,

Un soldat lui parlait sans qu’elle l’ait vu approcher

Nous partirons, si vous le souhaitez, trois heures après le levé du soleil. Vous aurez ainsi le temps de vous reposer.

Hors de question ! Nous partirons à l’aube. Il nous faut compenser notre retard. Styxia doit être atteinte à midi après demain.

Sur un geste de mauvaise humeur, Lucrezia fila se planter assez près du feu et tenta de dormir un peu.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 24 Mar - 19:12

Oliviel avait chevauché en retrait tout le long de la journée, observant le comportement des hommes,les estimant petit a petit et au cas par cas...Les œillades de la vestales ne lui était pas passé inaperçu non plus, d'ailleur lui aussi l'avait avait passé un bon moment a l'observer mais se trouvant derrière, cela était passé inaperçu a ses yeux...

Peu après la petite conversation qu'il eut avec Lucrezia, ses cinq homme sans la petite nina rattrapèrent la troupe qui étant au courant de leurs venue n'y prêtèrent aucun égard les ignorant royalement...Scipius vint alors au niveau d'Oliviel,ses hommes sur le talon...

-tout est en place ?

-tes instruction ont été donné,nina est restée là-bas et nous avons des vivres pour quatre jours...
-c'est amplement suffisant...merci.
-a ton service,un peu d'aventure nous fera le plus grand bien...


Le reste de la marche s'étira doucement et sans embuches.Le mari de la vestale quand à lui jetait quelques regards noir a Oliviel mais celui-ci s'en délectait en silence.La haine qu'il montrait donnait au guerrier une tout autre stature, autant d'égard qu'il lui montrait était analysée par oliviel comme une preuve qu'il le considérait comme un potentiel rival et ennemi,se rendant ainsi tout seul vulnérable ce qui l'amusait beaucoup.La nuit tomba et l'ordre de faire la camp fut donné,la mauvaise humeur de la vestale était flagrante ce qui fit planer une ambiance tendue au niveau de ses laquais.Les cinq mercenaires commencèrent a monter des tentes emportée en prévision et lorsqu'Oliviel s'en rendit compte,il était trop tard pour les cacher et ainsi éviter de se démarquer de la troupe...Lucrezia quand a elle ne s'en était pas rendu compte,sans doute trop occupée a penser aux préparatifs a venir...

Sur un geste de mauvaise humeur, elle fila se planter assez près du feu et s'allongea,fermant les yeux...Oliviel partit voir ses hommes, donnant ordre de débarrasser deux quatre des six tentes.Sans rechigner,ils s'exécutèrent en vitesse et partirent ensuite dans les tentes restantes,un homme placer a l'entrée de chacune,prenant le premier tour de garde.
Oliviel se dirigea alors vers Lucrezia,il vit son mari se lever, et venir lui faire face...

-oui?
-que faite-vous a venir par là?
-cela vous regarde?

Un rictus se dessina sur la mâchoire du Sénateur,la colère se lisait dans ses yeux mais oliviel ne lui laissa pas le temp de riposter.

-Si vous avez quelque chose d'utile a me demander n'hésitez pas, en attendant j'ai a faire veuillez ne pas me barrer le chemin mon seigneur,cela pourrait être mal interprété car je suis sûr que vos geste n'ont pas pour objectif de nuire a qui que ce soit n'est-ce pas ?

abasourdi le Sénateur ouvrit la bouche et la referma pour la réouvrir mais sans que rien n'en sorte a nouveau, il finit par faire un pas sur le côté,dépité et bouillonnant de rage...Oliviel se remit en marche vers la vestale et dit en partant...

-au fait, quatre de nos tentes ont été vidées.prenez-en trois pour vos hommes...

Bien que personne ne put le voir un sourire étirait maintenant les lèvres du guerrier,il ne pouvait voir le visage du mari de Lucrezia mais rien que de l'imaginait un doux parfum de victoire lui embaumait les bronches, il venait de gagner de premier round...
Il arriva au niveau de la vestale et s'accroupit,elle ouvrit les yeux,visiblement en colère mais lorsqu'elle s'aperçut que c'était oliviel il se firent plus doux.Il fit mine de ne rien avoir remarquer et annonça la venue de sa présence.

-ma dame...
-Vous savez que interrompre mon sommeil est passible de peine de mort?
-Avec tout le respect que je t...vous doit,t...vous ne sembliez pas dormir et je doute également que vous souhaitiez me voir mort...
-t...vous !!! faite attention Oliviel Decimus Meridius !! vous allez trop loin !
-Je voulait vous proposer de bien vouloir rejoindre une de nos tentes que nous avons aménagé pour vos soin, je trouvait que le sol sale fusse-t-il proche d'un feu n'était pas assez confortable pour une vestale tel que vous...
-co...ment? Elle se tourna,suivant le regard du guerrier et constata les tentes montées...
-ah...heu...
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 24 Mar - 21:02

12.

Les flammes dansaient devant elle, attisant la rage qui bouillonnait. Elle fulminait, sans trop savoir pourquoi, mais sa mauvaise humeur augmentait avec le feu. Elle le regardait. Il manquait de chaleur. Il n’était pas sacré.

Les flammes dansaient devant ses yeux et elle semblait perdue. Octavius la provoquait et voulait s’imposer. Jamais il ne faisait ça d’habitude. Elle sentait des pas autour d’elle, des bruits et des craquements. Le froid commençait à la saisir et elle se demanda si elle n’allait pas mourir de froid.

Les flammes dansaient devant elle et elle se sentait glisser doucement vers le sommeil. Les bruits devenaient plus sourds. Ses pensées dérivaient lentement dans les songes.


-ma dame...

Elle voulait protester, demander qu’on la laisse dormir. Mais cette voix. Elle ouvrit doucement les yeux. Elle cilla un instant. Toujours de mauvaise humeur.


-Vous savez que interrompre mon sommeil est passible de peine de mort?
-Avec tout le respect que je t...vous doit,t...vous ne sembliez pas dormir et je doute également que vous souhaitiez me voir mort...
-t...vous !!! faite attention Oliviel Decimus Meridius !! vous allez trop loin !
-Je voulait vous proposer de bien vouloir rejoindre une de nos tentes que nous avons aménagé pour vos soin, je trouvait que le sol sale fusse-t-il proche d'un feu n'était pas assez confortable pour une vestale tel que vous...
-co...ment?

Elle se tourna,suivant le regard du guerrier et constata les tentes montées...

-ah...heu...

Lucrezia soupira, soulagée. Elle tendit la main vers Oliviel pour qu’il l’aide à se relever. Epoussetant sa robe elle passa le front haut devant son mari. Il allait lui emboîter le pas quand elle fit volte face, posant un index sur son torse.

Octave ? Crois tu que tu partageras ma couche cette nuit ? Tu rêves !

Elle fixa Oliviel.
Haut et fort, avec un sourire victorieux, elle clama :


Oliviel Decimus Meridius veillera sur mon sommeil. Quant à toi mon cher, je te conseille de prendre des calmants, tu sembles avoir des aigreurs d’estomac vu ta grimace.

Un garde leva la tenture et Lucrezia y pénétra, Oliviel à sa suite. Elle s’installa sur des fourrures bien garnies. Se couvrant avec attention, elle regardait Oliviel qui était assis en tailleur.

Merci beaucoup.

Elle se retourna et dans la chaleur des couvertures s’endormit instantanément.


=========================================

Epuisée. Percluse de douleurs. Lucrezia s’assit et fit une grimace douloureuse. A travers une faible ouverture de la tente, elle vit une faible clarté. Il était l’heure de partir. Elle secoua Oliviel qui dormait toujours.

Hého !
Huuuuuuuuuum…
vous êtes sympa au réveil ! Oliviel c’est l’heure !

Il sursauta et sauta hors de la tente sans qu’elle ait eu le temps de bouger un orteil.

Quelle sociabilité ! On aurait dit un ours mal léché !

Lucrezia sortit à son tour de la tente. Un des gardes lui proposa une bassine d’eau pour faire des ablutions qu’elle jugeait beaucoup trop rudimentaires.

En se séchant, elle fit un chignon simple de ses longs cheveux et marcha lentement et précautionneusement jusqu’à son cheval. En montant dessus, elle sentit les larmes perler. La journée allait être longue.

Elle lança un regard vers Octave puis Oliviel mais tous les deux étaient visiblement furieux. Ce voyage allait être atroce.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeLun 24 Mar - 22:44

Oliviel avait essayé de veiller a nouveau cette nuit là.Il se moquait de son mari mais la réaction de la vestale ne visait qu'a l'irriter et bien que le résultat fut en faveur d'oliviel l'offre de lucrezia n'était pas vraiment destinée au guerrier...Il ne voulait donc pas dormir auprès de cette femme qui l'avait en quelques sorte utilisé attisant ainsi la haine du sénateur...

Il la regardait dans sa semi-nudité qu'il imaginait sans peine sous la couverture qui sculptait les formes de son corp sur toute sa longueur...Elle était belle et il ne s'en lassait pas.Il l'observa ainsi un long moment...Elle remua un peu dans son sommeil et bien tout devint noir mais il rouvrit les yeux avant de s'endormir et quel ne fut pas sa surprise...

Lucrezia première vestale, nue, le fixait des étoiles plein les yeux...Oliviel voulut parler mais elle le rayonna de ses lèvres brûlante et sucré,dévorant la bouche d'une déferlante passion qui enivrait le guerrier et la vestale...Plus rien n'existait alentour, il ne restait qu'eux...Leurs passion se consuma doucement, tout au long de la nuit il se donnèrent l'un a l'autre sans retenue et sans gêne assouvissant leurs instinct les plus primaires laissant libre cour a leurs imaginations et envies...

Hého !


qu'est-ce que c'est ? il connaissait cette voix,mais celle-là même était avec en train de l'embrasser...il essaya de rouvrir les yeux mais il n'y arrivait pas et dans un effort ultime il distingua le visage de Lucrezia ,les larmes aux yeux,les pommettes rosie par l'effort,s'éloigner inexorablement.Dépité,il répondit a l'appel inconnue...

Huuuuuuuuuum…
vous êtes sympa au réveil ! Oliviel c’est l’heure !

Un rêve ! ça lui avait percuté la tête a une vitesse vertigineuse,lui donnant le tourni,il n'arrivait pas a joindre les deux bout et lorsqu'il reprit ses esprit une clarté soudaine l'éblouissait,une fois habitué il distingua le soleil qui était a mi-chemin du zénith...Il partit alors faire sa toilette dans une tente de ses hommes qui en dehors d'un bonjour n'insistèrent pas sur la conversation...

Une fois sortis et réveillé bien que l'esprit toujours un peu ébranler d'avoir rêver ainsi de cette femme qui ne pouvait être sienne, il vit arriver son mari a grand pas et visiblement pressé de rêgler des comptes...Il arriva en face du guerrier et le regarda de haut...

-un problème?
-ho oui Oliviel !
-ha oui et lequel Octavius ?
-qui vous a permis de m'appeler ainsi ?
-et vous même ?
-je vais vous faire regretter votre attitude manant !
-he bien attendez d'être a Styxia pour cela parce qu'il vous faudra plus d'homme que vous n'en avez là pour espérer venir a bout de moi ! et le manant que je suis n'est autre que le fils de votre chef d'arme me déshonorer c'est le déshonorer lui, vous êtes bien mal poli pour un sénateur, sénateur !

Octavius fou de rage mis la main au fourreau mais il oublia qu'il se trouvait devant les tentes occupées par les hommes d'oliviel et ce fut une bien mauvaise stratégie de devenir menaçant car a eut-il la main sur la garde que deux épée était déjà sortis prêtes a lui faire face...Il dégagea sa main et proféra un flot de juron et de promesse de vengeance a l'encontre d'oliviel tandis qu'il partait en direction de ses propres hommes qui n'avait hélas pour lui put réagir a temp n'étant pas témoin de l'affrontement...

les préparatifs fini,la vestale sorti de sa tente qui fut sur le champ pliée et après que les ordres furent donnés, la troupe se mit en marche mais on distinguait facilement les deux groupes qui s'était formait de part et d'autre de la vestale.Une ambiance lourde et silencieuse se prolongeait tandis que le soleil montait et que les lieues étaient parcourus.l'ordre d'envoyer quelques chasseur en avant fut donné et bientôt la première halte de la journée fut prise...

le gibier grillait sur le feu et tout le monde s'affairait a préparer un repas rapidement et le plus gouteux possible afin que la vestale n'ai trop a souffrir de cette situation critique dans laquelle elle était embarquée.Octavius s'affairait a bien montrer que c'était lui le mari,essayant de la distraire et de lui faire la conversation mais ayant bientôt marre de ce petit jeu Lucrezia le renvoya violemment.Elle n'accorda pas non plus son attention a Oliviel qui lui était resté en retrait jusqu'à maintenant...bien que deux fois leurs regard se croisèrent mais d'un accord commun il changèrent de direction afin de ne plus se croiser...

Il se décida tout de même a aller lui parler une fois le repas consommé, il vint s'assoir a ses côtés sous le regard noir d'Octavius, quelques mètre plus loin qui observait la scène...

-qu'est-ce que vous voulez ?

-vous demander pardon...
-vous êtes un gougnafier et un ingrat !
-certe...
-certe? c'est tout ce que vous trouvait a dire?
-je ne peut nier les faits et le faire ne mènerai qu'a une altercation stupide et ridicule...
-tsssss...

Elle s'apprêta a se lever pour partir mais le guerrier l'attrapa par le poignet la tirant doucement vers le bas afin qu'elle se rasseye.Son mari se leva d'un bond et s'apprêtait a intervenir lorsqu'elle se rassis lentement...

-qu'est-ce que vous me voulez...
-j'ai était surpris ce matin...
-he bien...et alors?
-je ne pensait pas m'être assoupis et me réveiller soudain,j'ai mis un temp avant de réaliser et j'étais déjà dehors,le métier des armes offre des matin en sursaut et certain réflexes mettent longtemps a disparaitre complètement...Je ne suis pas toujours comme cela au réveil...
-j'espère bien...

Oliviel n'avais pas relevé particulièrement la réplique mais alors qu'il la regarda, son teint était viré au rouge et elle ne savait visiblement plus ou se mettre lorsque le guerrier compris...

-ha...
-enfin non...
-...
-enfin pas non si mais...
-je...
-je...suis confuse...
-heu non allons y aller je pense,les préparatifs sont finis...
-oui...

Il se levèrent évitant de se regarder et partir chacun de leurs côtés.La chevauché reprit mais le silence faisait toujours place entre Lucrezia, Octavius et Oliviel tandis que quelque soldats parlait entre eux...de temp en temp Lucrezia et Oliviel croisait a nouveau leurs regard et instantanément la vestale virait au bordeaux et les deux adultes s'évitait du regard pour les deux heures a venir comme des enfant ayant peur d'être prit faisant une bêtise.
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MessageSujet: Re: Hors de la ville [RP public]   Hors de la ville [RP public] Icon_minitimeMar 25 Mar - 12:24

13.

La journée était une catastrophe. Finalement elle devait avoir des dons de voyance. Elle ferma les yeux et jura qu’on ne l’y reprendrait plus.
Mais la reprendre à quoi ? Et pourquoi rougissait elle à chaque fois que son regard croisait celui d’Oliviel ?
Elle ferma les yeux et soupira. Elle se demanda un moment si elle n’allait pas rester coincée sur cette selle tellement elle souffrait.
L’après midi se passe de façon tout aussi morose. Lucrezia songea que si le voyage se déroulait ainsi jusqu’à Augurae elle n’arriverait jamais au bout sans avoir tué quelqu’un.

Soudain, sans qu’elle fasse attention, la troupe s’arrêta devant une rivière. Surprise, Lucrezia laissa son cheval se cabrer. Aussitôt une main de chaque côté du cheval tenta de calmer la monture.
Oliviel et Octavius se lancèrent des regards meurtriers.


Ça cesse ! Je ne suis pas une enfant. Je sais très bien maîtriser cet animal. Vous n’êtes pas mes nourrices ! Qu'attendons nous pour traverser ?

Enervée, elle lança son cheval dans la rivière. L’eau était glacée. Mais elle pouvait passer à gué.

Etant la première à traverser la rivière elle fit demi tour et se redressa. Elle se sentait gelée.


Gracchus et Lucius m’encadreront désormais.

Sans attendre elle s’avança sur le chemin. Les gardes la dépassèrent rapidement, reprenant leur formation. Sa robe était trempée et elle lança des coups d’œil vers Oliviel et Octavius. Mais son mari partit au galop, signalant qu’il accompagnerait les éclaireurs jusqu’au prochain campement.
Elle leva les yeux au ciel.


Vestale, tu t’énerves pour peu ces derniers temps. Un héritier en route peut être ?

Lucrezia lui lança un regard mauvais. Non elle n’était toujours pas enceinte.

Il va me falloir songer à adopter une héritière.
Mais ta sœur ?
Demi sœur… une bâtarde. C’est hors de question. Il me faut l’enfant d’une Vestale ou d’un Sénateur défendant notre cause.

Gracchus leva les mains au ciel.

Mes filles sont déjà mariées, désolé.
Je sais que tu ne veux pas qu’elles soient Vestales.
Je préfère voir gambader des petits sénateurs qui donneront des coups de pied à Reptus.

Lucrezia esquissa un sourire.
Finalement, elle entama la discussion avec son conseiller et son frère sur ce qu’ils feraient à Styxia.
Sa robe lui collait toujours au corps, mais elle refusait de se plaindre.


Rachel doit nous rejoindre ainsi que Clarisse. J’ai envoyé une missive.

Lucrezia tourna la tête vers Gracchus.

Tu dis quoi ?

Des papillons devant les yeux. Des points noirs. Elle frotta ses yeux. Si elle fatiguait maintenant, le périple allait être un cauchemar.

Voilà le campement Vestale.

Lu tenta de mettre pied à terre mais elle se sentait un peu faible. Son frère la souleva comme un fétu de paille et la posa au sol qui semblait peu stable.

Lucius ?

Elle tendit le bras vers son frère.

Accompagne moi jusqu’à la tente tu veux. Et fais en sorte que cette nuit nul ne me dérange. Je suis épuisée. Et non je n’ai pas faim.

Elle entra dans la tente et s’allongea, grelottant.

Lu…
Luuuu…


Le flou… Elle tenta de se lever mais ses coudes ne la portaient pas. Elle laissa retomber sa tête sur les fourrures.

Lucrezia !

Les voix étaient étouffées. On l’appelait mais elle ne parvenait pas à répondre.


Il faut l’emmener tout de suite. Styxia est à quatre heures de là.
Elle est trop faible pour voyager.
On y va.

Qui avait dit ça. Elle ne le savait pas. Elle se sentit juste soulevée et se laissa faire. Elle était assise sur un cheval, quelqu’un dans son dos pour la tenir assise. Sa tête glissait toute seule. La fièvre la tenait.

Elle va attraper la mort.
C’est la rivière hier.
Et personne n’a vu qu’elle avait froid ? Lucius ? Gracchus ? Je vous tiens pour responsable.

Laissez …m… moi tranquille.

Elle tentait d’enlever la main qui la maintenait par la taille mais elle était trop ferme pour elle. Elle n’arrivait même pas à desserrer un doigt.

Voilà Styxia.

Elle fit un effort pour ouvrir les yeux. Elle frissonna encore.

Finalement nous n’avons qu’une heure de retard.
Hâtons nous. J’ai l’impression que la fièvre augmente.


( La suite ici, à Styxia, post d'Oliviel)
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